Imaginons un Monde Nouveau.


Imaginons un monde où, sans entrer ici dans les polémiques que suscitent la réalité de ces solutions, elles sont de toutes les façons bien plus au point que l’on veut bien le dire dans les “grands médias” :

  • Les voitures rouleraient à l’air comprimé, à l’eau, à l’hydrogène
  • Le bois rétifié, procédé de séchage qui permet d’utiliser des bois “ordinaires”
  • Un monde sans chimie, utilisant, en lieu et place d’insecticides, de désherbants, d’engrais, de station d’épurations ou d’eau en bouteille, le système Plocher*…

Imaginons un monde où, sans entrer ici dans les polémiques que suscitent la réalité de ces solutions, elles sont de toutes les façons bien plus au point que l’on veut bien le dire dans les "grands médias" :

– les voitures rouleraient à l’air comprimé, à l’eau, à l’hydrogène...

– le bois rétifié, procédé de séchage qui permet d’utiliser des bois "ordinaires" comme le pin, en lieu et place des bois exotiques et de bien d’autres matériaux de construction, accompagné de ce formidable végétal qu’est le bambou, serait érigé, réglementairement comme composant prioritaire de nos habitats, mobiliers, bateaux, piscines, voire véhicules automobiles.
Il existe un projet de voiture bois et fibres végétales, prête à courir aux 24 heures du Mans, validée par l’ACO, à laquelle il ne manque que des sponsors* .

Un monde sans chimie, utilisant, en lieu et place d’insecticides, de désherbants, d’engrais, de station d’épurations ou d’eau en bouteille, le système Plocher* agissant uniquement par diffusion d’informations vibratoires dans un milieu. Utilisant "l’énergie libre", il transmet à des supports neutres, poudres de quartz, terre de silice, des "informations" (sous forme "d’état vibratoire") spécifiques et permet à un biotope de retrouver son fonctionnement optimal.
Pour mémoire, dans l’univers quantique, nous trouvons de la lumière, des "états vibratoires" et de l’énergie.
Chacun de ces termes demande une lecture assez différente de celle que leur prête le sens commun, mais l’essentiel à comprendre est que la "matière n’existe pas".
Elle relève d’une organisation de ces composants et nous obtenons plus de résultats en développant nos connaissances et nos actions, et avec beaucoup moins de risques "d’effets secondaires", de fait "primaires" pour ceux de nos sciences officielles actuelles, si nous tenons compte de la réalité quantique.

Le lisier, avec le système Plocher, en repassant dans un cycle aérobie, redevient un produit vivant et le meilleur des engrais, parfaitement assimilable par les végétaux.
L’eau du robinet reprend ses qualités d’eau de source et les plantes, au mieux de leur forme, n’ont plus besoin d’autres apports que celui de leur propre vitalité pour se développer et se protéger.


Un monde où les maladies incurables reculeraient sous l’effet d’une alimentation correcte.
L’archéologie nous enseigne que, jusqu’au paléolithique, époque de l’apparition du feu, puis rapidement de l’agriculture et de l’élevage, on ne trouve pas de traces de maladies*.

Un monde où l’énergie serait partout disponible et inépuisable*, sans production de CO2, sans les perturbations dues aux champs électromagnétiques perturbateurs d’ADN et facteurs de stress, sans OGM, bien sûr.

Un monde ou les pays en voie de développement auraient leurs propres moyens de production, rejoignant les pays développés sur la scène d’un commerce international limité par les transferts de technologies et la production à distance.

Un monde où les comportements humains renaîtraient au respect mutuel et à la dynamique des différences, revivant le transcendantal par le canal des différentes quêtes spirituelles qui reprennent vigueur. Les indicateurs que sont le retour des religions, mal enseignées le plus souvent, le développement du reïki, celui du chamanisme ou des arts martiaux enseignent la transcendance et l’abolition de l’ego.
Notre civilisation principalement matérialiste et temporelle, commence de désintéresser, l’Avoir ayant fait montre de ses limites, la nécessité de l’Être ressurgit.

Presque toutes ces solutions présentent le même inconvénient et le même avantage : la culture scientifique, ne pouvant généralement pas les appréhender, refuse de les prendre en considération pour ne pas remettre en cause ses modèles théoriques dépassés.

Il faudrait, paradoxalement, à l’aide de connaissances, partielles, voire fausses, prouver la validité de procédés qui enterrent ces mêmes connaissances!

Les résultats de ces nouvelles approches, que les processus de validation actuels permettent de ne pas prendre en compte, sont pourtant la preuve formelle de leur efficacité.

Ou comment une société s’invente une nouvelle quadrature du cercle.

"Aucun problème ne sera résolu avec la façon de penser qui l’a généré". Albert Einstein

Ce monde est pourtant possible, instruit par la mise en application d’écotechnologies qui n’attendent, pour se répandre, qu’une baisse de la résistance à leur épanouissement.
De grands professeurs, comme le Professeur Luc Montagnier, ou David Servan-Schreiber, revenus prudemment des "dogmes" pasteuriens, s’ouvrent à des techniques et des supports plus conformes à ce que j’appelle les "Véritables Mécanismes du Vivant". Trouvant, pour l’un, dans la qualité, la variété, et les "structures originelles" de nos aliments, soit des sources de "co-facteurs" nécessaires au développement des maladies soit, et par omission souvent, les éléments nécessaires au processus de guérison quand ces nutriments se révèlent adaptés à notre génétique et, pour le second, pointent l’importance des omégas 3 (& 6, & 9, à ne pas oublier non plus), pour notre équilibre général, et nerveux, en particulier.
David Servan-Schreiber apporte la caution d’un chercheur sérieux et compétent, une capacité à se remettre en question et à admettre l’efficacité d’une découverte, même si nous ne sommes pas capables d’en expliquer "scientifiquement" les arcanes, comme si ce que l’homme ne peut comprendre devait obligatoirement sortir des sphères des réalités et des nécessités vitales. David Servan-Schreiber, donc, nous entraîne, depuis quelques temps, sur des voies que la "médecine officielle" se refusait jusqu’alors d’explorer… Officiellement du moins.

Penchons-nous rapidement sur la méthode de mouvement des yeux qui, parfois en une seule séance, a guéri aussi bien des enfants ayant subi de terrifiants traumatismes, comme d’assister au massacre de toute leur famille, ou des personnes déclarées folles, ne pouvant ni manger, ni dormir ! L’EMDR (Eye Movement Desensitization Reprocessing), objet d’impressionnantes études et cautions scientifiques, basées sur des résultats indiscutables, consiste tout simplement à initier des mouvements oculaires sur des rythmes du même type de ceux que l’on peut observer pendant les phases de sommeil paradoxal. Il ne s’agit pas une hypothèse de travail, mais bien de la reproduction d’un comportement tout à fait "naturel et nécessaire" correspondant à cette période, indispensable, sous peine de mort, du sommeil pendant laquelle l’imaginaire, la mémoire se réorganisent, et, plus précisément, se régénèrent. Cette guérison des traumatismes quotidiens, indispensable à la survie des êtres humains, mais aussi de nombreuses espèces animales, va s’appliquer, à des traumatismes d’une telle ampleur que cette découverte montre que l’on peut aussi les traiter à l’état de veille. Pour une fois, grâce à l’ouverture d’esprit de quelques chercheurs d’incontournable réputation, les applications, et bientôt les connaissances qui en découlent, rendent leur vie à nouveau gratifiante à quelques milliers de personnes, sans "l’aide" de médications chimiques peu efficaces, en tous les cas pas sur la durée, et ne limitant, provisoirement, que l’expression de certains symptômes, et jamais sans effets secondaires, qu’ils soient identifiés ou non par les prescripteurs.

Ce n’est pas parce que nous explorons des zones inconnues, sans instruments adaptés, et parfois sans référent aucun, que ne s’y trouvent pas justement les clefs ouvrant de nouvelles portes dont nous n’avions pas même soupçonné l’existence, ou, plus dramatiquement, le plus souvent, oublié cette existence pour en avoir depuis longtemps perdu ses clefs.
Cessons de chercher, sous la lumière du lampadaire, nos clefs perdues, sous prétexte que l’on y voit plus clair, si c’est de l’autre côté, obscur, de la rue, qu’elles se trouvent.

Par pitié, serai-je tenté de dire, ne nous leurrons plus, ne permettons pas que cette belle aventure de la vie sur cette minuscule planète qui a reçue tant de privilèges, ne soit brisée dans sa trajectoire. L’avenir pourrai être vraiment beau si nous cultivons les éclats de vérité semés, ou captés, au fil du temps, par de belles âmes.

Posons-nous sérieusement la question du "Paradis perdu". Pourquoi cette mémoire des temps anciens, malgré les distorsions culturelles et religieuses, continue-t-elle de nous tarauder ? Passant tour à tour par l’appel de la nature, dont nous soupçonnons qu’elle est meilleure que la nôtre, dont nous vérifions, avec une légèreté de surface les bienfaits, au travers d’un retour à la campagne, d’un séjour en montagne ou d’un bain de mer. Qu’avons-nous mis dans nos villes, dans notre assiette, dans notre "esprit", qui nous rende si malade ? Comment l’homme est-il devenu la seule espèce au monde à massacrer sa propre espèce ? La plupart des philosophies et des religions enseignent l’amour. Comment se fait-ils que ce soit au nom de Dieu qu’eurent lieu, et continuent d’avoir lieu, les plus grands massacres, que l’on se refuse par un douteux exercice dialectique à appeler génocides ?

"La guerre ce sont des gens qui ne se connaissent pas et s’entretuent, au profit d’autres gens qui, eux, se connaissent, mais ne s’entretuent pas" Boris Vian.

Ayez de la bienveillance pour cet amour des citations, ce ne sont ni des raccourcis faciles, ni des échappatoires, ils relèvent de ces éclats de vérité qui ouvrent des perspectives qu’il reste de notre responsabilité d’explorer.

Ne nous leurrons cependant pas, l’éveil des consciences est encore trop en deçà du niveau de pression nécessaire à l’inversion des flux. Soyez prêts et actifs, elle monte, elle monte. Participez, relayez, doutez explorez, pensez par vous-même.
Pour vous aider à en suivre l’évolution et comme premier remède à notre longue surdité collective, je vous en propose cette première étape incontournable : la circulation de l’information.

J’entreprends, pour rester cohérent, aujourd’hui une action de communication qui, j’en suis certain sera relayée par ceux qui ont la moindre idée de l’état des lieux sur cette planète.
Elle passe par une communication amplifiée par tous les vecteurs.
Toutes les solutions dont nous avons besoin de façon urgente sont à notre disposition.
La multiplication des changements de comportements individuels en est le carburant principal, elles n’en sont que le moteur.
Chacun d’entre nous en est un relais potentiel à valeur exponentielle, chacun n’ajoute pas seulement son action mais démultiplie celle des autres

Les stars, les paysans, les hommes de sciences, les chercheurs, tous ceux, d’une façon générale sont investis d’une reconnaissance sociale ont plus que tout autre la responsabilité, donc le devoir moral, de prendre soin de la portée du moindre de leur acte ou de leur parole.

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