Imaginons un Monde Nouveau.
Imaginons un monde où, sans entrer ici dans les polémiques que suscitent la réalité de ces solutions, elles sont de toutes les façons bien plus au point que l’on veut bien le dire dans les “grands médias” :
- Les voitures rouleraient à l’air comprimé, à l’eau, à l’hydrogène
- Le bois rétifié, procédé de séchage qui permet d’utiliser des bois “ordinaires”
- Un monde sans chimie, utilisant, en lieu et place d’insecticides, de désherbants, d’engrais, de station d’épurations ou d’eau en bouteille, le système Plocher*…
Presque toutes ces solutions présentent le même inconvénient et le même avantage : la culture scientifique, ne pouvant généralement pas les appréhender, refuse de les prendre en considération pour ne pas remettre en cause ses modèles théoriques dépassés. Il faudrait, paradoxalement, à l’aide de connaissances, partielles, voire fausses, prouver la validité de procédés qui enterrent ces mêmes connaissances! Les résultats de ces nouvelles approches, que les processus de validation actuels permettent de ne pas prendre en compte, sont pourtant la preuve formelle de leur efficacité. Ou comment une société s’invente une nouvelle quadrature du cercle. "Aucun problème ne sera résolu avec la façon de penser qui l’a généré". Albert Einstein Ce monde est pourtant possible, instruit par la mise en application d’écotechnologies qui n’attendent, pour se répandre, qu’une baisse de la résistance à leur épanouissement. Penchons-nous rapidement sur la méthode de mouvement des yeux qui, parfois en une seule séance, a guéri aussi bien des enfants ayant subi de terrifiants traumatismes, comme d’assister au massacre de toute leur famille, ou des personnes déclarées folles, ne pouvant ni manger, ni dormir ! L’EMDR (Eye Movement Desensitization Reprocessing), objet d’impressionnantes études et cautions scientifiques, basées sur des résultats indiscutables, consiste tout simplement à initier des mouvements oculaires sur des rythmes du même type de ceux que l’on peut observer pendant les phases de sommeil paradoxal. Il ne s’agit pas une hypothèse de travail, mais bien de la reproduction d’un comportement tout à fait "naturel et nécessaire" correspondant à cette période, indispensable, sous peine de mort, du sommeil pendant laquelle l’imaginaire, la mémoire se réorganisent, et, plus précisément, se régénèrent. Cette guérison des traumatismes quotidiens, indispensable à la survie des êtres humains, mais aussi de nombreuses espèces animales, va s’appliquer, à des traumatismes d’une telle ampleur que cette découverte montre que l’on peut aussi les traiter à l’état de veille. Pour une fois, grâce à l’ouverture d’esprit de quelques chercheurs d’incontournable réputation, les applications, et bientôt les connaissances qui en découlent, rendent leur vie à nouveau gratifiante à quelques milliers de personnes, sans "l’aide" de médications chimiques peu efficaces, en tous les cas pas sur la durée, et ne limitant, provisoirement, que l’expression de certains symptômes, et jamais sans effets secondaires, qu’ils soient identifiés ou non par les prescripteurs. Ce n’est pas parce que nous explorons des zones inconnues, sans instruments adaptés, et parfois sans référent aucun, que ne s’y trouvent pas justement les clefs ouvrant de nouvelles portes dont nous n’avions pas même soupçonné l’existence, ou, plus dramatiquement, le plus souvent, oublié cette existence pour en avoir depuis longtemps perdu ses clefs. Par pitié, serai-je tenté de dire, ne nous leurrons plus, ne permettons pas que cette belle aventure de la vie sur cette minuscule planète qui a reçue tant de privilèges, ne soit brisée dans sa trajectoire. L’avenir pourrai être vraiment beau si nous cultivons les éclats de vérité semés, ou captés, au fil du temps, par de belles âmes. Posons-nous sérieusement la question du "Paradis perdu". Pourquoi cette mémoire des temps anciens, malgré les distorsions culturelles et religieuses, continue-t-elle de nous tarauder ? Passant tour à tour par l’appel de la nature, dont nous soupçonnons qu’elle est meilleure que la nôtre, dont nous vérifions, avec une légèreté de surface les bienfaits, au travers d’un retour à la campagne, d’un séjour en montagne ou d’un bain de mer. Qu’avons-nous mis dans nos villes, dans notre assiette, dans notre "esprit", qui nous rende si malade ? Comment l’homme est-il devenu la seule espèce au monde à massacrer sa propre espèce ? La plupart des philosophies et des religions enseignent l’amour. Comment se fait-ils que ce soit au nom de Dieu qu’eurent lieu, et continuent d’avoir lieu, les plus grands massacres, que l’on se refuse par un douteux exercice dialectique à appeler génocides ? "La guerre ce sont des gens qui ne se connaissent pas et s’entretuent, au profit d’autres gens qui, eux, se connaissent, mais ne s’entretuent pas" Boris Vian. Ayez de la bienveillance pour cet amour des citations, ce ne sont ni des raccourcis faciles, ni des échappatoires, ils relèvent de ces éclats de vérité qui ouvrent des perspectives qu’il reste de notre responsabilité d’explorer. Ne nous leurrons cependant pas, l’éveil des consciences est encore trop en deçà du niveau de pression nécessaire à l’inversion des flux. Soyez prêts et actifs, elle monte, elle monte. Participez, relayez, doutez explorez, pensez par vous-même. J’entreprends, pour rester cohérent, aujourd’hui une action de communication qui, j’en suis certain sera relayée par ceux qui ont la moindre idée de l’état des lieux sur cette planète. |